Pourtant, l’Etat de Fribourg dispose d’une situation financière solide : sa fortune est supérieure à 800 millions de francs et les comptes sont bénéficiaires, sans discontinuer, depuis 10 ans, parfois très largement.
Il n'existe donc aucune raison de diminuer, une nouvelle fois, le salaire réel des infirmiers/-ières, des cantonniers/-ières, des enseignant-e-s, des employé-e-s de nettoyage, bref, de toutes celles et de tous ceux qui font vivre le service public et parapublic fribourgeois. Par la présente, nous demandons donc au Conseil d'Etat d'adapter les salaires et les rentes au renchérissement, comme le feront l'immense majorité des collectivités publiques en Suisse.
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